blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

maitrerabbi

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Je suis le medium maître rabbi, pour vous aider à donner un sens à votre vie dans les domaines ci-après : Affection, Occ

Je suis le medium maître rabbi, pour vous aider à donner un sens à votre vie dans les domaines ci-après : Affection, Occultisme, Sorcellerie, Magie (paranormal), Vaudou, Zodiaque, Clairvoyance, Signe du Zodiaque, Astrologie, Voyance, Bonheur, Méditation, Connaissance de soi, Qualité de vie, Médium, Marabout, Maitre, Rabbi, Développement personnel, Estime de soi, Spiritualité, Motivation, Psychologie, Techniques de relaxation ou Métaphysique etc...

Blog dans la catégorie :
Publicité

 




Signaler un contenu illicite

 

maitrerabbi

LES DIEUX EN MAGIE, MAÎTRE RABBI

 

Les divinités, quel sujet fascinant. La sorcellerie prise isolément peut sembler, à première vue, n’être qu’un ensemble de traditions et de techniques pour utiliser les énergies de la nature et jeter des sorts. Mais avec une approche spirituelle païenne telle que la Wicca, la sorcellerie devient en fait une véritable religion.

# Plusieurs facettes du même diamant. 

Les religions cherchent en général à répondre aux questions existentielles des humains, afin de leur fournir une vision du monde englobante, réconfortante et pourvue de sens. Dans leur questionnement, la plupart des religions reconnaissent qu’il doit exister une force ou un être suprême; dans les sociétés occidentales, on l’appelle souvent « Dieu » et, à cause des religions abrahamiques monothéistes très répandues, beaucoup de gens ont tendance à l’imaginer comme un personnage humain masculin, une sorte de figure paternelle. La plupart des Wiccans et des sorciers, par contre, puisent leur image de l’être suprême dans les vieilles croyances polythéistes des civilisations anciennes: le divin étant trop mystérieux et dépassant trop l’entendement, il est plus facile de le vénérer un visage à la fois ! Chaque Dieu et Déesse des néo-païens représente un aspect du divin, comme une petite facette d’un immense diamant.

# L’Homme et la Femme.

La plus facile des divisions à faire pour se forger une image du divin consiste à séparer l’être suprême de la même façon que notre espèce est divisée: en deux sexes. Les Wiccans sont donc duothéistes et croient en une Déesse et un Dieu. Comme les fondements centraux de la Wicca viennent des croyances celtiques, les deux divinités les plus souvent vénérées sont d’origine celte. Le féminin sacré est représenté par la Dame Blanche, une Déesse triple qui est à la fois jeune fille, mère et grand-mère; par ses trois âges elle symbolise l’amour, la fertilité et la sagesse. Son complément masculin est le Seigneur Cornu, basé sur l’ancien Dieu celte Cernunnos, symbolisant la force, la volonté et le courage. La Déesse et le Dieu ont une importance et une puissance parfaitement égale, et se complètent l’un et l’autre. Cependant, il y a des sorciers qui vénèrent abondamment la Déesse et invoquent très peu le Dieu; certains agissent ainsi par ignorance et immaturité, mais d’autres privilégient la Déesse par souci d’équilibre, étant donné que les grandes religions du monde actuel sont démesurément centrées sur un Dieu masculin.

# Une multitude de noms

La Dame Blanche et le Seigneur Cornu ne sont évidemment pas les seules divinités de la sorcellerie. Puisque les sorciers considèrent toute divinité comme l’un des noms donnés au même être suprême, cela signifie qu’ils peuvent prier et invoquer les Dieux de n’importe quelle religion du monde. Évidemment, chaque divinité symbolise des qualités et des forces différentes; pour invoquer un Dieu ou une Déesse correctement et dans les bonnes circonstances, il faut donc se donner la peine de faire des recherches sur son histoire, sur les mythes de sa religion d’origine, et sur ses traits de personnalité. Il est important de choisir avec soin les Dieux que l’on invoque pour ressentir une bonne connexion spirituelle avec eux. Par exemple, un sorcier qui prévoit jeter un sort de guérison et qui veut demander une aide divine pourrait fouiller dans ses livres à la recherche d’un Dieu guérisseur dont la personnalité est compatible avec la sienne ou avec la personne à guérir. S’il choisit une divinité égyptienne, il pourra adapter son sort de guérison en brûlant un encens égyptien ou en écrivant sa formule sur du papyrus, alors que pour appeler un Dieu scandinave il emploierait plutôt des runes. Il devra faire bien attention de ne pas appeler un Dieu qu’il ne connaît pas du tout, ou pire un Dieu en qui il ne croit pas, car alors il n’y aura pas d’authentique lien spirituel avec la divinité, et prononcer son nom dans une formule ne signifiera pas grand-chose; l’invocation risquerait même d’être captée au vol par un démon ou autre esprit malveillant qui pourrait saboter le rituel.

# Les Patrons

Une divinité patronne est une facette du divin que l’on a choisie parmi toutes les autres, par affection et compatibilité personnelle. C’est une divinité spéciale que l’on privilégie dans les rituels et les prières, et à qui on se sent lié de façon intime. Certains sorciers sont très éclectiques, leur intérêt virevolte d’un panthéon à l’autre au gré des saisons et des circonstances, et ils préfèrent ne pas choisir de patron. D'autres sont très exclusifs, et vénèrent un patron unique durant toute une vie. La majorité des sorciers se situent entre les deux: ils ont une préférence, mais peuvent changer de patrons à long terme selon leurs expériences de vie. Ayant en tête la dualité homme-femme, les Wiccans ont tendance à choisir deux divinités patronnes: un Dieu et une Déesse. Le choix est parfois simplifié par le fait que dans les mythes anciens bon nombre de Dieux forment déjà des couples. Un adorateur de Zeus peut donc lui adjoindre Héra, alors qu’Isis forme la paire avec Osiris. Mais ce n’est pas toujours aussi simple, et il est tout à fait possible d’avoir deux patrons provenant de mythologies complètement différentes. Le meilleur moyen de choisir une divinité patronne est généralement de lire sur la mythologie de diverses civilisations. Le premier pas consiste à choisir quelle mythologie semble la plus attirante: se sent-on plus confortable avec les Dieux celtes, égyptiens, nordiques, aztèques, mésopotamiens, hindous ? Une fois que l’on se sent bien dans une atmosphère mythique particulière, on peut y chercher une divinité qui nous ressemble en termes d’intérêts, de personnalité et de talents; d’autres chercheront au contraire une divinité possédant les qualités qui leur manquent, une sorte de modèle à qui ils aimeraient ressembler. On peut aussi tenter de trouver une divinité qui correspond à nos dons magiques. Quand on trouve un Dieu ou une Déesse particulièrement agréable à vénérer, on peut lui consacrer une dédication, c’est-à-dire un rituel où on demande à cette divinité de tisser un lien intime avec nous, et où on promet d’être fidèle aux valeurs qu’elle représente. Il arrive parfois qu’on ait nullement besoin de chercher une divinité patronne, car il y a d’emblée une divinité qui nous est très chère. Ainsi, certains sorciers adopteront les mêmes Dieux que leurs parents ou leur mentor; d’autres vivront un événement spécial en présence d’une divinité, et l’aimeront définitivement par la suite; quelques-uns se rappelleront une divinité marquante d’une vie antérieure, et renoueront un lien ancien. Quel que soit le moyen de créer le contact avec le divin, l’important est de ne pas considérer la sorcellerie comme une simple panoplie de techniques, de formules et de recettes de potions. La magie est une force innée, et cette force nichée à l’intérieur de chaque sorcier est un don des Dieux. Occultiste maître Rabbi.

 

Page fb www.facebook.com/puissantmaitrerabbi1/
E-Mail: maitrerabi@hotmail.fr
Whatsapp: +22 997 807 087

 

 

LES TROIS PRINCIPAUX LIVRES DE MAGIE, MAÎTRE RABBI

 

Il existe plusieurs types de livres de magie; les trois principaux sont les grimoires (idem en anglais), les livres de sorts (ou spellbooks), et les Livres des Ombres (ou Books of Shadows).

# Les grimoires

Ce sont des livres éducatifs, des manuels d’apprentissage de la magie. Ils contiennent généralement assez peu de sorts et de rituels, mais ils expliquent dans les grandes lignes ce que c’est que la magie et comment la pratiquer. De nombreux grimoires s’adressent à tous et sont excellents pour les débutants, mais certains ne conviennent qu’à des personnes expérimentées car ils concernent des techniques magiques difficiles qui nécessitent de déjà bien connaître la magie. On peut acheter des grimoires sur toutes sortes de sujets dans les librairies et les boutiques ésotériques; plusieurs sorciers en accumulent une volumineuse bibliothèque au fil des années.

# Les livres de sorts

Ils sont ce que leur nom indique: des recueils de sorts et de correspondances (rituels et incantations, listes d’ingrédients avec leurs propriétés, recettes de potions, d’huiles et d’encens, etc.) Ils sont remarquablement pratiques lorsque l’on recherche un moyen pour arriver à un but particulier, et on les trouve en grand nombre dans les librairies ésotériques. Évidemment, il faut savoir se servir de la magie en général pour réussir les envoûtements des livres de sorts, il ne suffit pas de lire des recettes et d’attendre les résultats.

# Les Livres des Ombres

Un Livre des Ombres est tout à fait différent des autres types d’ouvrages; il ne se trouve pas en librairie, et il est mille fois plus précieux. C’est le recueil personnel où un sorcier note ses rituels favoris, ses formules, ses sorts, ses recettes, ainsi que des informations sur les esprits et entités qu’il a rencontrés et sur les éventuels dangers qu’il a eus à affronter. Peuvent s’y joindre aussi des poèmes, des citations inspirantes, des pensées spontanées, des idées pour des sorts à venir, bref toute information que le sorcier ou la sorcière juge importante. Petit à petit, ce livre gagne des pages, s’enrichit, et reflète la personnalité de son auteur. Il devient un objet précieux, sacré et très personnel, un outil pour organiser sa magie, la comprendre, et mieux l’utiliser. Cet ouvrage peut être écrit sur des feuilles libres dans un cartable, dans un cahier, à l’ordinateur, sur parchemin, dans un beau livre fait à la main. Il peut prendre toutes les formes.

Selon la tradition, seul un sorcier devrait avoir le droit de toucher un Livre des Ombres, et seulement avec la permission de son auteur. Avec le temps, ces précieux livres s’imprègnent de leurs propres pouvoirs et de leur propre aura. Ainsi, le Livre des Ombres d’un sorcier malveillant s’enveloppe d’énergie maléfique et devient un porte-malheur profondément corrompu. Inversement, celui d’un bon sorcier est béni, et acquiert une puissante aura de protection qui fait en sorte que les incantations écrites à l’intérieur ne fonctionneront pas si elles sont récitées par une personne malveillante, car le Livre lui-même se défendra contre ce mauvais usage et empêchera ses sorts d’agir.

Notons ici que le nom « Livres des Ombres«  ne fait pas référence au mal, mais bien à l’importance du mystère et du secret. Il faut garder son Livre avec soin, à l’abri des regards, et choisir judicieusement les personnes avec qui on partage ses parcelles favorites de savoir magique. Occultiste maître rabbi.

 

Page fb www.facebook.com/puissantmaitrerabbi1/
E-Mail: maitrerabi@hotmail.fr
Whatsapp: +22 997 807 087

 

 

QUELQUES PHASES UTILISE EN MAGIE, MAÎTRE RABBI

 

Comme tout autre talent, les pouvoirs magiques d’un sorcier évoluent avec le temps et avec la pratique. Ils ont des hauts et des bas, et ils changent parfois du tout au tout, si bien qu’à court terme il peut même leur arriver de s’affaiblir, mais à long terme, ils s’améliorent presque toujours. En fait, c’est parce que la magie suit un cycle du pouvoir, formé de trois étapes qui se répètent. Elles sont souvent nommées à partir de la mythologie égyptienne: Isis (c’est le nom d’une puissante Déesse universelle, maîtresse de la magie et de la protection, l’épouse d’Osiris), Apophis (un atroce serpent démoniaque souhaitant détruire l’univers), et enfin Osiris (le puissant Dieu du renouveau et de la nature, ramenant les morts à une nouvelle vie). Voici le portrait habituel de chacune de ces étapes:

# Isis: période ou le sorcier découvre des pouvoirs, des talents ou des intérêts nouveaux. L’émotion du moment, le plaisir de la découverte et les surprises abondent et apportent de la motivation. Les sortilèges fonctionnent assez bien, la magie surprend et donne des résultats parfois impressionnants. De nouvelles idées et des projets peuvent surgir, ne demandant qu’à se réaliser. C’est en quelques sortes un « stade chenille ».

# Apophis: c’est la période creuse, où le sorcier semble avoir moins de temps et d’énergie à consacrer à la magie, mais en fait c’est aussi et surtout la motivation qui diminue. Souvent, des questions ou des doutes commencent aussi à assaillir le pratiquant. Durant les rituels, certains sorciers et sorcières peuvent même en venir à se demander si ce qu’ils font a du sens et n’est pas tout simplement de la folle superstition. L’utilité de la magie n’est pas évidente dans ces moments-là, et les croyances sont moins solides. Il arrive que des sorts ne fonctionnent pas du tout, et les bonnes surprises se font plus rares. Bref, la magie elle-même devient déprimante, comme si ses avantages et ses bons côtés s’enfermaient dans un cocon et s’y endormaient. Le sorcier a alors le choix entre plusieurs attitudes:

a) abandonner la magie car elle est trop décourageante, demande trop de temps ou d’efforts, ou pire parce qu’il n’y croit plus.

b) commencer à étudier un tout autre domaine de la magie, où il reste encore beaucoup de choses à découvrir, pour retrouver sa motivation et repartir à neuf dans une autre phase Isis.

c) persévérer malgré les difficultés passagères et tenter de ressentir et de comprendre ce qui se passe.

# Osiris: voilà la phase où le papillon émerge de son cocon ! Cette phase est atteinte après avoir persévéré malgré une période creuse. Après quelques temps (cela peut prendre des jours, des mois, très rarement des années), la magie est de retour. Les pouvoirs du sorcier fonctionnent de nouveau, mais pas de la même façon qu’avant: ils sont plus forts, plus profondément connectés à sa personnalité, et ils lui obéissent mieux. En même temps, reviennent aussi le plaisir et la motivation, mais avec un grain de compréhension, de confiance et de maîtrise supplémentaire: c’est ce que l’on appelle de la sagesse. Voilà le cycle du pouvoir. Chaque fois que ces étapes sont franchies, la phase Osiris peut éventuellement se transformer en une nouvelle phase Isis et recommencer le cycle, amenant le sorcier à devenir toujours plus sage et plus puissant. Cependant, les différents pouvoirs d’un sorcier n’évoluent pas nécessairement tous en même temps. Si un sorcier possède plusieurs pouvoirs, et qu’un seul d’entre eux s’affaiblit et entre en Apophis alors que les autres restent fonctionnels, c’est sans doute que le présent cycle est entièrement consacré à ce pouvoir, et que c’est lui seul qui va bientôt s’améliorer. Occultiste maître Rabbi.

 

Page fb www.facebook.com/puissantmaitrerabbi1/
E-Mail: maitrerabi@hotmail.fr
Whatsapp: +22 997 807 087

 

 

LES DIFFÉRENTES COULEURS DE CHANDELLES, MAÎTRE RABBI

 

Allumer des bougies contribue à créer une ambiance mystique pendant un rituel. De plus, la flamme des chandelles fourni l’énergie de l’élément Feu aux sorts, et peut aussi être utilisée pour libérer les forces concentrée durant le rituel, ou pour brûler certains ingrédients ou allumer de l’encens. Sans compter que la lumière des chandelles peut servir de phare pour appeler les esprits à inviter. Cependant, la couleur d’une chandelle peut affecter l’énergie apportée par cette bougie, et la rendre préférable à un type de sort particulier. Voici les correspondances avec les couleurs. Si on ne dispose pas de la couleur appropriée pour le but d’un rituel, il suffit d’ignorer la bougie et de se concentrer sur sa flamme seulement.

# Rouge: amour, passion, colère et autres émotions fortes, transformation, libération, vérité, maléfices.

# Rose: amour permanent plutôt que passionné, compassion, douceur.

# Beige: sentiments doux et permanents, tranquillité.

# Orange: activité, changement, dynamisme.

# Jaune: savoir, intelligence, compréhension, mémoire.

# Vert: argent, biens matériels, stabilité, chance.

# Bleu: relaxation, guérison, paix.

# Indigo: relaxation profonde, méditation, guérison.

# Violet: guérison, spiritualité, puissance magique et spirituelle.

# Magenta: source d’énergie très puissante, transformation.

# Brun: justice, équilibre, modération, stabilité.

# Argent: Lune et Déesse.

# Noir: mystère, nécromancie, protection, maléfices, maîtrise des forces négatives.

# Blanc: bon pour presque tout. Peut renforcer l’énergie d’une chandelle colorée. 

Occultisme maître Rabbi.

 

Page fb www.facebook.com/puissantmaitrerabbi1/
E-Mail: maitrerabi@hotmail.fr
Whatsapp: +22 997 807 087

 

 

QUELQUES ACCESSOIRES UTILISER EN MAGIE, MAÎTRE RABBI

 

Bien que la sorcellerie se fasse surtout sur le plan spirituel, la plupart des sorciers aiment avoir des liens physiques avec les énergies qu’ils emploient. Il nous est plus facile, en tant qu’êtres incarnés, d’aborder la magie si elle est concrète. C’est pour cela que les rituels existent. Et il existe une infinité de façons d’utiliser des objets symboliques dans les rituels.

Les accessoires utilisés dépendent des préférences de chaque pratiquant et aussi des traditions, mais dans les rituels wiccans et dans l’ensemble de la magie blanche, certains objets sont très courants:

# L’athamé: très courant et très puissant, c’est un petit couteau rituel. Traditionnellement, il est à double tranchant, sa lame n’est pas aiguisée et son manche est noir, mais les variations sont très fréquentes. Il sert rarement à couper des choses, mais plutôt à diriger des énergies, et symbolise soit le Feu, soit l’Air. C’est aussi un symbole masculin, associé au Dieu, servant de talisman pour repousser les esprits malveillant et de signe d’autorité lorsque l’on invoque des esprits. L’athamé a parfois un compagnon à manche blanc, qui ne sert pas pour les rituels mais plutôt pour découper et préparer des ingrédients de potions.

# La baguette: instrument moyennement fréquent, simple mais très puissant. C’est un court et mince bâton de bois, de verre, de métal ou d’un autre matériau solide, parfois décoré de symboles, de rubans, de cristaux, de couleurs… La baguette symbolise le Feu ou l’Air, et sert à concentrer et diriger les énergies avec précision ainsi qu’à invoquer des forces et des êtres.

# Le bâton: moins courant que la baguette, car beaucoup plus encombrant. C’est en général un long bâton de bois, souvent à peu près de la grandeur de son utilisateur, plus robuste et moins finement décoré que la baguette. Symbole de pouvoir et de maîtrise des forces, il sert à focaliser de très grandes quantités d’énergie ainsi qu’à faire des invocations.

# La boule de cristal: accessoire très connu (voire cliché), la boule de cristal ne donne pas sa place quand il s’agit de divination. Elle est utile pour voir le passé, le présent et l’avenir, mais il faut un talent de voyance considérable pour arriver à y voir clairement.

# Le burin: cousin de l’athamé et du couteau rituel, traditionnellement au manche rouge. Il sert principalement à graver des runes ou autres symboles, mais il se substitue aussi très bien au couteau pour préparer des ingrédients, et il remplace parfois l’athamé lors des rituels.

# Les cartes: très répandus, les jeux de cartes et les tarots servent généralement à prédire l’avenir; les cartes peuvent aussi révéler le passé et certains éléments du présent, et répondre à des questions spécifiques. Il en existe des milliers de modèles différents.

# La chandelle: l’accessoire le plus courant de tous, le plus facile à trouver, la chandelle a l’avantage colossal de ne pas sembler étrange aux yeux des cowans. Elle peut servir de source d’énergie, représenter le Feu ou les autres éléments, être un symbole des divinités, délimiter un cercle, servir de signal à des esprits… Selon sa couleur, une chandelle peut aussi symboliser le but d’un sort, sans oublier que rien ne bat les chandelles lorsqu’il s’agit de créer une ambiance mystique.

# Le chaudron: généralement en métal lourd, tel que la fonte. Un chaudron de qualité est parfois difficile à se procurer ou encombrant à ranger; c’est pourquoi contrairement à la croyance populaire, les sorciers utilisent le plus souvent des chaudrons de petite taille et non d’immenses cuves. De toute façon, qui a besoin de préparer 50 litres de la même potion ? Le chaudron sert à mélanger des ingrédients ou à prédire l’avenir, et symbolise l’union des éléments et le pouvoir créateur de la magie. On y verse parfois aussi un peu d’alcool que l’on enflamme, afin d’y brûler divers ingrédients. Plusieurs sorciers emploient même un petit chaudron comme brûleur à encens.

# Le contenant d’eau: représente l’Eau (quelle surprise), et peut servir pour la divination.

# La coupe ou le calice: représente le divin dans son aspect féminin, le pouvoir de la Déesse, et permet la divination ou le partage du vin et d’autres boissons durant un rituel.

# Les cristaux: les cristaux sont souvent utilisés car ils n’ont pas l’air bizarres aux yeux des cowans (après tout, ils sont décoratifs et on peut les collectionner !) Le quartz clair est le plus courant et le plus polyvalent cristal en magie, mais toutes sortes d’autres minéraux ont des usages particuliers. Les cristaux servent entre autres à prédire l’avenir, à concentrer ou stocker de l’énergie, et à représenter la Terre ou d’autres éléments.

# L’encens: outil habituel, qui suscite peu de questions indiscrètes car même les cowans le trouvent normal pour parfumer une maison. Il représente l’Air et la sagesse, et son parfum aide à créer une ambiance propice à la magie. Divers encens ont des significations particulières qui les lient à des forces différentes; tout dépend des pensées que suscite leur odeur, et de la symbolique des plantes employées pour les préparer.

# Les huiles essentielles: utilisées dans le même but que l’encens, les huiles de diverses plantes aromatiques peuvent servir à purifier, représenter l’Air, ou encore simplement améliorer l’ambiance.

# Les livres de magie: courants et incroyablement utiles, mais il faut souvent prendre soin de les cacher aux regards indiscrets. Les livres utilisés en magie sont surtout les grimoires (des livres d’apprentissage de la magie), les livres de sorts, et les plus chéris des sorciers: les Livres des Ombres (livres personnels écrits par les sorciers, renfermant leurs sortilèges et leurs secrets).

# Le pendule: utilisé aussi hors de la sorcellerie, le pendule est un instrument utile pour détecter les courants d’énergie ou répondre à des questions de divination. On peut également l’employer pour trouver des lieux ou des personnes en les faisant désigner sur une carte.

# Le pentacle: un disque sur lequel est gravé un pentacle est parfois utilisé pour représenter la Terre durant les rituels, et peut très bien servir de base de travail sur laquelle sont déposés des objets. Quant aux pentacles souvent portés par les sorciers et sorcières sous forme de pendentifs, de bagues ou de boucles d’oreilles, ce sont littéralement des badges qui les identifient comme croyants et leur offrent également une protection contre les démons et la magie noire.

# Les runes: anciens symboles scandinaves, souvent inscrits en accord avec leur signification pour ajouter de la force à un sort. Instruments très puissants surtout entre les mains des druides et des néo-païens nordiques, les runes sont souvent gravées sur de petits disques de pierre ou des pièces de bois qui peuvent alors être utilisés comme instruments de divination. Occultiste maître Rabbi.

 

Page fb www.facebook.com/puissantmaitrerabbi1/
E-Mail: maitrerabi@hotmail.fr
Whatsapp: +22 997 807 087

 

 

Minibluff the card game

Hotels